22 novembre 2021
Sammi et ses rennes.
Sammi et ses rennes
Un dessin de février 2019, 30 x 40 cm, avec parfois portemines 0,3 mm (B HB H 4H) et essentiellement 0,2 mm B pour le pointillisme. D’après une photo de Jimmy Nelson.
Dessin d’après une superbe photo d’un jeune esquimau de la tribu nomade nénètse, prise par le photographe Jimmy Nelson sur le cercle polaire en Sibérie, dans le cadre de sa série sur une trentaine de peuples en danger recensés dans un somptueux livre "Before They Pass Away" de 500 photographies à couper le souffle, avec des textes en anglais, français et allemand, livre complété par un site internet qui abonde en informations sur chacune de ces tribus.
"Ces tribus et ces cultures oubliées nous enseignent des dimensions de l’humanité comme l’amour, le respect, la paix, la survie et le partage. Leurs liens familiaux, leurs croyances, leur relation à la nature expriment une beauté très pure." (Jimmy Nelson)
Et si c’était la dernière chance de l'Humanité, en cette époque de bouleversements en tous genres sur notre planète, de tirer leçon de cette réflexion de Jimmy Nelson ?
Le célèbre photographe Jimmy Nelson a créé "The Last Sentinels", un voyage cinématographique d’une quarantaine de minutes réalisé à partir d’une centaines de ses photographies du célèbre artiste Jimmy Nelson, au cœur des dernières cultures indigènes et paysages du monde entier. Cette œuvre cinématographique célèbre la diversité de ces peuples qui vivent en harmonie et avec la nature.
Jimmy Nelson œuvre pour rapprocher les peuples du monde autour de la préservation des patrimoines naturel et culturel de l’humanité.
"Le moment est venu de reconnaître et de célébrer les dernières communautés indigènes du monde en tant que nouveaux modèles. Ils sont l'exemple vivant de la façon dont les humains peuvent vivre en parfaite harmonie avec eux-mêmes, leurs cultures uniques et le monde naturel." (Jimmy Nelson)
Et si c’était la dernière chance de l'Humanité, en cette époque de bouleversements en tous genres sur notre planète, de tirer leçon de cette réflexion de Jimmy Nelson ?